L’image du marteau est chargée de connotations, mais avant tout, c’est un outil commun de percussion qui sert à enfoncer, à planter des clous.
Et si le clou s’avérait avoir une tête de massacreur ? Alors, tout simplement, comme dit le proverbe : « petite pluie abat grand vent » et le marteau se casse, sa propre fonctionnalité étant mise en cause.
L’idée de fragilité est intrinsèque à la céramique, mais elle survient plutôt comme une surprise lors de la performance, étant donné l’image mentale que nous nous faisons de la solidité d’un outil pareil et l’apparence des marteaux (en céramique) de plus en plus impressionnants.
Le clou du spectacle invite à la réflexion car même les plus forts peuvent se casser la figure.